La gestion des dettes constitue un pan entier dans le management d’une TPE, PME, ou d’une grande entreprise.
Dans ce contexte, le rôle d’un bon manager est de mettre tout en œuvre pour éviter les défauts de paiement susceptibles d’aboutir à des procédures judiciaires.
Outre les pertes financières qu’elles peuvent entraîner, ces procédures nuisent à la réputation de l’entreprise et représentent une énorme perte de temps.
Heureusement, des solutions innovantes ont vu le jour et simplifient le paiement des factures pour les entreprises, alors découvrez quelques options de paiement et leur implication.
Des outils de suivi et de règlement pour solder plus rapidement ses dettes
Il n’est pas rare pour un comptable de découvrir une ou plusieurs factures impayées lors d’un contrôle de gestion.
Pour éviter que ces retards de paiement nuisent à la trésorerie de l’entreprise, il dispose de solutions simples et accessibles.
On distingue notamment les logiciels de paiement en ligne, outils servant à alléger les procédures de suivi et de règlement des factures afin que les entreprises gagnent un temps précieux.
En centralisant ses données sur un logiciel de référence comme Clearnox, le gestionnaire diminue les retards de paiement et entretient la relation client-entreprise.
Ses modules de gestion offrent des alternatives à l’affacturage : ils sont dotés de plusieurs fonctionnalités qui facilitent la collecte et l’archivage des documents comptables.
Certains sont également outillés pour prévenir les contentieux grâce à des fonctions planning et alertes parfaitement personnalisables.
D’autres solutions proactives pour recouvrer ses impayés
À défaut des logiciels de gestion, les entreprises peuvent opter pour les solutions de paiement mobile très en vogue.
Cet univers donne lieu à des transactions rapides et faciles garanties par les opérateurs de téléphonie les plus influents du marché.
Cependant, ces opérations financières sont parfois plafonnées à un montant déterminé.
C’est sans compter que le paiement mobile présente des dispositifs de traçabilité des échanges qui ne correspondent pas toujours aux exigences d’une entreprise d’envergure.